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June 29, 1992 (31)
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La devise britannique est l’une des monnaies qui a le plus progressé depuis de la début de l’année.

Alors que la zone euro s’enfonce dans la crise, la livre sterling est devenue, malgré elle, la valeur refuge des investisseurs en quête de sécurité. La devise britannique a touché lundi en séance 79,63 pence face à l’euro, un plus haut depuis novembre 2008.

Crise oblige, la livre est l’une des monnaies qui ont le plus progressé depuis le début de l’année, gagnant 4 % par rapport à l’euro et 8 % depuis fin octobre. «La livre est l’une des devises les plus liquides après le dollar et le yen. C’est en grande partie pour cette raison qu’elle sert aujourd’hui de valeur refuge aux investisseurs qui délaissent l’euro», explique Nordine Naam, stratégiste chez Natixis. Elle a remplacé dans de nombreux portefeuilles le franc suisse, qui depuis l’intervention de la banque centrale helvétique en septembre dernier, pour brider son envolée, ne joue plus vraiment le rôle d’actif refuge. Du coup, alors qu’une sortie de la Grèce de la zone euro est de plus en plus évoquée, certaines banques centrales (dont la Banque centrale suisse) ont intensifié ces derniers temps la diversification de leurs actifs avec des livres sterling.

«Même si l’économie britannique n’est pas florissante, le pays est politiquement et économiquement stable par rapport à la zone euro. De plus, la banque centrale est libre de ses mouvements et elle rachète la dette du pays», poursuit Nordine Naam. La Grande-Bretagne n’a donc pas de problème de refinancement, contrairement à certains États de la zone euro, dont principalement la Grèce.

Pour autant, l’envolée de la livre sterling pénalise l’économie britannique, qui est entrée en récession au premier trimestre (pour la deuxième fois depuis 2009).
Handicap pour les exportations

Le renchérissement de la livre face à la monnaie unique handicape les exportations vers la zone euro, qui achète 47 % des produits vendus à l’étranger par la Grande-Bretagne. Ce qui compromet le retour à la croissance de l’économie. Cependant, la livre sterling devrait continuer à grimper face à l’euro, selon les experts, car la crise est loin d’être terminée. Lundi, l’euro a cédé du terrain face à toutes les devises, dont le dollar (1,28 dollar).

Yoann Gourcuff pourra toujours se consoler comme ça. Il ne sera pas la prochaine tête de turc des Bleus en cas de crash en Ukraine. Quoique… Depuis que la France s’est découvert une vocation (à défaut d’une culture) footballistique à la fin du siècle dernier semble-t-il, depuis qu’on disserte sur le zinc de la liste des vingt-deux, des vingt-trois (remember Dugarry), on doit toujours prévoir un parachute doré. L’équation est basique : « Un problème ? Un coupable ». Il faut toujours un martyr chez les Bleus, ou à défaut un exutoire.

Bon, c’est vrai, il y a eu l’enterrement de 2008 et la demande en mariage qui a suivi. Bon, il faut dire qu’il y a aussi eu Knysna en 2010 et sa grève syndicale en mondiovision. Deux éliminations piteuses (litote) au premier tour drivées par Raymond Domenech. Responsable de rien quand la France va en finale de la coupe du monde en 2006, coupable de tout pour les deux tournois suivants. Ca va de soi… Depuis la Libération, une éternité et un jour, à l’échelle du monde 2.0, on sait que parfois, parfois seulement, les collabos d’hier sont les résistants de demain. Donc, la France va mal. Elle est invaincue depuis vingt mois et elle compte trois victoires sur des nations majeures. On pourrait certes ergoter sur ces trois succès (Angleterre B, Brésil réduit à dix ou Allemagne la tête ailleurs) mais on a connu des tournois internationaux qui s’annonçaient plus mal. Sans parler du tirage au sort, demandez aux Danois, eux aussi dans le chapeau quatre, lors du tirage.

Dans ce pays, on est impayable : soit, on s’auto-flagelle ad nauseam, soit on sombre dans le chauvinisme le plus bestial, les soirs où les « affranchis » voguent au secours de la victoire. Le chœur des panurgiens bêlants célébrera probablement Franck Ribéry si celui-ci réitère en Bleu ses prestations avec le Bayern. Parmi ceux qui brailleront le plus fort, il y en aura beaucoup qui auront été outré par son retour après Knysna. En période de doute, de flou, d’incertitude il faut TOUJOURS un coupable. Abidal n’est plus là et il joue au Barça. Toulalan habite aux oubliettes. Anelka aurait été parfait mais il préfère ses tribulations en Chine. Ah… Evra. Parfait, Evra. Il rate un match et des torrents d’opprobre lui tombent sur la face. Dire qu’on croyait que le foot était un sport collectif…

Cantona (92), Ginola (93, pour la coupe du monde 94), Pedros (96), Dugarry (98), le trio d’attaque (2002), Desailly (04), Thuram (08) et les leaders syndicaux de 2010 : il faut toujours exécuter un fautif en place de Grève dans l’Hexagone. A qui le tour ? Evra, donc. Deschamps, Ferguson et Blanc sont donc d’infinis baltringues incompétents qui n’y entravent que dalle. Le gars des Ulis part en pole sur le bûcher des vaniteux mais il y a quelques outsiders en embuscade, et non des moindres. Mexès, après son match contre l’Islande, peut figurer un martyr tout ce qui a de plus plausible. Après tout, le gars ne joue en Italie, dans des clubs mineurs, que depuis huit ans... Malouda, ensuite, ça lui rappellera des souvenirs et son palmarès ne veut absolument rien dire. Après, il y a des cotes : Clichy, parce que Clichy… Menez, il y a la tête et le profil de victime qui conviennent. M’Vila et ses frasques à répétition pourrait également en énerver quelques-uns. Bref, on n’a pas à s’inquiéter, le pays aura sa victime expiatoire… On lèche, on lâche, on lynche : la France du foot est devenue comme la presse tabloïd anglaise, elle n’aime rien tant que brûler aujourd’hui ce qu’elle a adoré la veille. On a hâte d’être au lendemain du France-Angleterre de l’Euro s’il y a un vainqueur. Pour lire, pour rire ou pour pleurer…

Dans ce pays, on est impayable : soit, on s’auto-flagelle ad nauseam, soit on sombre dans le chauvinisme le plus bestial, les soirs où les « affranchis » voguent au secours de la victoire. Le chœur des panurgiens bêlants célébrera probablement Franck Ribéry si celui-ci réitère en Bleu ses prestations avec le Bayern. Parmi ceux qui brailleront le plus fort, il y en aura beaucoup qui auront été outré par son retour après Knysna. En période de doute, de flou, d’incertitude il faut TOUJOURS un coupable. Abidal n’est plus là et il joue au Barça. Toulalan habite aux oubliettes. Anelka aurait été parfait mais il préfère ses tribulations en Chine. Ah… Evra. Parfait, Evra. Il rate un match et des torrents d’opprobre lui tombent sur la face. Dire qu’on croyait que le foot était un sport collectif…

Cantona (92), Ginola (93, pour la coupe du monde 94), Pedros (96), Dugarry (98), le trio d’attaque (2002), Desailly (04), Thuram (08) et les leaders syndicaux de 2010 : il faut toujours exécuter un fautif en place de Grève dans l’Hexagone. A qui le tour ? Evra, donc. Deschamps, Ferguson et Blanc sont donc d’infinis baltringues incompétents qui n’y entravent que dalle. Le gars des Ulis part en pole sur le bûcher des vaniteux mais il y a quelques outsiders en embuscade, et non des moindres. Mexès, après son match contre l’Islande, peut figurer un martyr tout ce qui a de plus plausible. Après tout, le gars ne joue en Italie, dans des clubs mineurs, que depuis huit ans... Malouda, ensuite, ça lui rappellera des souvenirs et son palmarès ne veut absolument rien dire. Après, il y a des cotes : Clichy, parce que Clichy… Menez, il y a la tête et le profil de victime qui conviennent. M’Vila et ses frasques à répétition pourrait également en énerver quelques-uns. Bref, on n’a pas à s’inquiéter, le pays aura sa victime expiatoire… On lèche, on lâche, on lynche : la France du foot est devenue comme la presse tabloïd anglaise, elle n’aime rien tant que brûler aujourd’hui ce qu’elle a adoré la veille. On a hâte d’être au lendemain du France-Angleterre de l’Euro s’il y a un vainqueur. Pour lire, pour rire ou pour pleurer…

Si vous cherchez à vous protéger d’un affaiblissement durable de l’euro, les autres grandes devises comme le dollar, le franc suisse voire la livre ne sont pas la panacée. Voici les pistes actuelles de l’UBS.

Et si à force d’être ressassées, ces prophéties apocalyptiques quant à l’euro se vérifiaient? Même sans en arriver à une dislocation de la zone (issue qui serait catastrophique aussi bien pour les grecs que pour les allemands), certains épargnants disposant d’avoirs conséquents et soucieux de se prémunir d’un affaiblissement durable de la monnaie unique se demandent vers quelles devises se tourner.

Lors d’une conférence sur les perspectives économiques européennes qui se tenait récemment à Paris, le chef économiste de la banque helvète UBS a livré quelques pistes. Andreas Hofert a d’abord observé que le plus étonnant au sujet de l’euro, c’est que le recul de la devise reste somme toute limité. Notre monnaie se traite incomparablement plus haut qu’au début des années 2000 (plus bas à 0,8 dollar, alors que l’euro fiduciaire n’était pas encore réalisé) et encore au-delà de son niveau d’introduction fixé à 1,17 dollar. Mais cela traduit tout autant un déficit de confiance dans le dollar, les Etats-Unis n’ayant tout simplement pas les moyens aujourd’hui de vivre avec des taux élevés, vu leur endettement.

Du côté du franc suisse, valeur refuge par excellence, la BNS reste déterminée à défendre le seuil de 1,20 contre l’euro. UBS pense que la banque centrale suisse y parviendra, du moins jusqu’à ce que les politiques remettent en cause l’ampleur des moyens mis en œuvre (la BNS ayant quintuplé son bilan). Le potentiel semble donc limité d’ici là.

La livre sterling a le vent en poupe avec les mesures énergiques prises par le gouvernement pour réduire la dette publique et le recul de l’inflation qui commence à se dessiner, mais la devise britannique a déjà bénéficié d’un beau parcours et pourrait marquer une pause.

Le yen apparaît très risqué, la plus risquée des grandes devises d’une certaine façon.

Aux investisseurs actifs recherchant un degré supplémentaire de diversification, l’économiste suggère de se porter sur les monnaies scandinaves (couronnes suédoise et norvégiennes) sur le zloty polonais ainsi que sur la couronne tchèque.

Hors d’Europe, UBS note que le réal brésilien et le dollar australien sont déjà chers. En revanche le won coréen, le dollar singapourien et le renminbi, la devise chinoise, sont à privilégier.

Les conditions des marchés de devises évoluant plutôt vite, il convient toutefois de déterminer la monnaie la plus attractive au moment de l’achat.

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